array(5) { ["content_type"]=> string(4) "text" ["text"]=> array(1) { [0]=> array(2) { ["acf_fc_layout"]=> string(9) "paragraph" ["paragraph_content"]=> string(868) "

Dans l’histoire de l’architecture, la toiture d’un bâtiment est partie prenante de la perception de l’édifice. En France, Paris particulièrement, nous en offre maints exemples : le Grand-Palais, les Gares ou plus près de nous le musée Louis Vuitton ou la Canopée couvrant les Halles. La toiture représente un élément fort de l’architecture de ces ouvrages ; il en est de même pour certains bâtiments aujourd’hui encore.

Les toitures architecturales deviennent de véritables cinquièmes façades : carrossées, végétalisées, accessibles ou non… mais participant pleinement à la perception volumétrique de l’œuvre. Ainsi, les percements et les exutoires doivent être les plus légitimes possibles, se fondre au mieux dans le décor… être invisibles.

" } } ["show_marge"]=> bool(false) ["image"]=> bool(false) ["noborder"]=> string(0) "" }

Dans l’histoire de l’architecture, la toiture d’un bâtiment est partie prenante de la perception de l’édifice. En France, Paris particulièrement, nous en offre maints exemples : le Grand-Palais, les Gares ou plus près de nous le musée Louis Vuitton ou la Canopée couvrant les Halles. La toiture représente un élément fort de l’architecture de ces ouvrages ; il en est de même pour certains bâtiments aujourd’hui encore.

Les toitures architecturales deviennent de véritables cinquièmes façades : carrossées, végétalisées, accessibles ou non… mais participant pleinement à la perception volumétrique de l’œuvre. Ainsi, les percements et les exutoires doivent être les plus légitimes possibles, se fondre au mieux dans le décor… être invisibles.

Toiture architectural